Développeur no code face au développeur traditionnel : qui domine en 2025 ?

Développeur no code face au développeur traditionnel : qui domine en 2025 ?

20 Jan 2025

En 2025, le développement logiciel se trouve à un carrefour passionnant mêlant technicité et innovation. Entre autres, les technologies no code ont gagné en maturité et attirent de plus en plus d’entreprises cherchant à optimiser leurs processus de création numérique. À l’autre bout du spectre, les développeurs traditionnels maintiennent leur position en répondant à des besoins plus techniques et sur-mesure. La confrontation entre ces deux approches alimente un débat intense : laquelle de ces solutions domine réellement le marché ? C’est justement ce sur quoi nous allons nous attarder, mais avant d’entrer dans le vif du sujet, il est essentiel de se pencher sur les facteurs qui influencent le salaire d’un développeur no code. Un aspect clé qui reflète leur popularité croissante et leur importance dans l’écosystème technologique actuel.

Les raisons de l’essor fulgurant des développeurs no code

Avec l’émergence de solutions accessibles et innovantes, les développeurs no code se sont imposés comme des acteurs indispensables du numérique. Mais comment concrètement ? Essayons de le découvrir.

Pourquoi les développeurs no code sont de plus en plus recherchés ?

Alors, il n’est aucun doute que l’une des questions qui vous trottent dans l’esprit est celle de savoir pourquoi les développeurs no code sont de plus en plus recherchés. En réalité, les entreprises d’aujourd’hui recherchent des solutions agiles et rapides pour se développer, et le no code répond parfaitement à ces attentes. 

En permettant de concevoir des applications sans maîtriser des langages de programmation complexes, les plateformes no code ouvrent des portes à une nouvelle catégorie de créateurs : les non-techniciens. Les startups, par exemple, utilisent fréquemment des outils comme Bubble, Adalo ou Webflow pour créer des Minimum Viable Products (MVP) en quelques jours. Cette rapidité d’exécution se traduit par des économies substantielles en temps et en budget.

En parallèle, les PME et grands groupes voient dans le no code une opportunité de tester des concepts sans engager de lourdes ressources en développement. Cela explique pourquoi des secteurs variés, tels que l’e-commerce, la santé ou encore l’éducation, adoptent massivement cette approche.

Développeur no code freelance ou salarié : qui gagne le plus ?

Alors, vu toute l’hype autour des développeurs no code, si vous êtes une entreprise cherchant à vous tourner vers cette solution, ou encore un aspirant au métier, vous vous demandez sûrement entre le  développeur no code ou salarié : qui gagne le plus ? Eh bien, vous avez raison puisque le mode de rémunération des développeurs no code dépend en grande partie de leur statut. 

En tant que salarié, leur salaire annuel peut varier entre 30 000 et 50 000 euros bruts, selon leur expérience et leur spécialisation. Cependant, les freelances tirent leur épingle du jeu, notamment grâce à des missions spécifiques bien rémunérées. Sur des plateformes comme Malt ou Upwork, les développeurs no code freelances expérimentés peuvent facturer entre 300 et 600 euros par jour, voire davantage pour des projets complexes. 

En moyenne, un freelance no code avec un portefeuille solide peut gagner jusqu’à 80 000 euros par an, en travaillant sur des projets variés dans des secteurs à forte valeur ajoutée.

Développeur traditionnel : toujours un pilier essentiel ?

Vu cette vulgarisation des devs no code, il est plutôt logique de se demander si finalement, ils ne volent pas la vedette aux devs traditionnels. Rassurez-vous, malgré l’ascension des outils no code, le développeur traditionnel conserve une place prépondérante dans la chaîne de création numérique.

Les atouts techniques inégalés

L’une des forces des développeurs traditionnels réside dans leur capacité à créer des solutions sur mesure. Contrairement aux outils no code, limités par les fonctionnalités de leurs plateformes, un développeur maîtrisant des langages comme Python, Java ou C++ peut répondre à des besoins extrêmement spécifiques. 

Les entreprises ayant des contraintes techniques complexes, comme les banques ou les entreprises de cybersécurité, se tournent naturellement vers ces experts capables d’optimiser chaque ligne de code.

Une rémunération influencée par la spécialisation

En 2025, le salaire d’un développeur traditionnel est toujours plus élevé que celui d’un développeur no code, notamment en raison de la technicité requise. Un développeur full-stack, par exemple, peut gagner jusqu’à 60 000 euros bruts par an en tant que salarié, avec des possibilités d’évolution salariale significatives. Les freelances, eux, affichent des taux journaliers allant de 400 à 800 euros, selon leur expertise et la complexité des projets qu’ils prennent en charge.

Les limites et complémentarités entre no code et développement traditionnel

Plutôt que de les opposer, les entreprises gagnent souvent à combiner ces deux approches. Alors, évitez de limiter les horizons de vos possibilités. Découvrons en détails, pourquoi. 

Adaptabilité des outils no code face à la robustesse du développement traditionnel

Bien que le no code soit synonyme de rapidité et d’accessibilité, il reste contraint par les limites des plateformes utilisées. Par exemple, l’intégration de fonctionnalités avancées ou l’optimisation des performances nécessite souvent l’intervention de développeurs traditionnels. Cela est particulièrement vrai pour les projets de grande envergure, comme les systèmes de gestion interne ou les plateformes e-commerce avec des millions d’utilisateurs.

À l’inverse, le développement traditionnel, bien qu’extrêmement performant, peut être chronophage et onéreux. C’est pourquoi de nombreuses entreprises adoptent une approche hybride, où les outils no code servent à prototyper rapidement des solutions, avant qu’un développeur traditionnel n’intervienne pour en assurer la scalabilité et la robustesse.

Quels scénarios favorisent l’une ou l’autre approche ?

Les outils no code sont idéaux pour les projets simples ou temporaires, comme les sites vitrines ou les applications internes. En revanche, les développeurs traditionnels restent indispensables pour des projets nécessitant une intégration complexe ou un contrôle total sur les fonctionnalités et la sécurité. Par exemple, un outil no code pourrait suffire pour développer un outil de gestion d’équipe, mais un logiciel bancaire nécessitera les compétences d’un développeur traditionnel.

NeoShore : un acteur clé dans cette transformation numérique

En tant que partenaire stratégique, NeoShore aide les entreprises à exploiter pleinement les avantages du no code et du développement traditionnel. En mettant à disposition des talents qualifiés et en fournissant des solutions sur mesure, NeoShore garantit une exécution optimale des projets numériques, tout en s’adaptant aux contraintes de chaque client.

Pour clore, le débat entre développeur no code et développeur traditionnel ne se résume pas à une opposition simple. Les deux approches se complètent et répondent à des besoins spécifiques. En 2025, la clé du succès pour les entreprises réside dans leur capacité à tirer parti des forces de ces deux mondes. Les développeurs no code apportent rapidité et agilité, tandis que les développeurs traditionnels assurent robustesse et personnalisation. Avec des partenaires comme NeoShore, les entreprises peuvent naviguer efficacement dans ce paysage technologique en pleine évolution.

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